Pinocchio Barattini - 24 ans
- Italien
- concepteur
- Androïdes
- Asian Street
- Léo Valdez - Percy Jakson
• "Mégaloreille", "CrapauJambe", "Giga gadgeto main" toutes les créations de Pino portent des noms touts aussi farfelu les uns que les autres. La source d'inspiration principal du concepteur ? Les comics et dessins animés, bien sûr.
• Adepte du parkour, il ne prend néanmoins plus le temps de pratiquer depuis qu'il a ouvert son atelier.
• Pino met énormément de coeur à l'ouvrage : plus d'une fois il oublie de dormir, ou de manger. Une de ses voisines lui apporte régulièrement des repas tout faits pour le remercier de la jambe qui lui a offert.
• Il déteste la magie, non pas en tant que telle (il n'a d'ailleurs rien contre ses pratiquants). Mais simplement, il n'arrive pas à la comprendre, ni à la toucher, ni à l'expérimenter et encore moins à la démonter. Ça le frustre énormément.
• En arrivant à Concordia, il s'était d'abord installé à Steam Street mais l'abondance de la magie, l'a bien trop déstabilisé.
• Pino est asexuel et à la limite de l'aromantisme, mais il pourra probablement tomber amoureux d'un androïde particulièrement bien fait - ou d'un micro-ondes révolutionnaire.
• Il possède un petit terrarium avec quelques criquets à l'intérieur. À la base, il n'y en avait qu'un et il se demande toujours où son mâle à trouvé sa femelle.
• Il préfère rester très loin de toute forme d'idéologie et/ou de politique. Pour lui, cela relève bien trop de la psyché humaine - trop aléatoire et pas assez logique.
• Il écoute régulièrement de la musique classique et du hip-hop. Il lui arrive d'ailleurs de se mettre à danser sur ce dernier genre de musique.
Jambe qui tressaute. Pupilles baladeuses. Les doigts qui tapotent. Le pied qui rebondit. Nul besoin de savoir lire le "body language" pour en être assuré : Pinocchio aime bouger, être actif c'est son dada. Immobilisez le et vous le verrez lentement dépérir, comme noyé dans toutes ses idées qu'il n'aura pu mettre en action.
Pino -comme le surnomme ses amis- est en effet le genre de jeune homme dont les méninges bouillent constamment. Mais si vous savez ! Ce garçon, là, qui vous interpelle dans la rue "une horloge qui n'indiquerai pas les heures auxquelles manger, mais quand le corps aurait besoin de manger - c'est là toute la différence ma chère madame !" vous explique t'il à toute vitesse. Comme si il avait peur d'oublier cette formidable idée révolutionnaire, au profit d'une autre tout aussi farfelue.
Des idées farfelues, il n'en manque pas. Sérieusement, vous avez déjà visité son atelier ? Tous ses croquis étalés, accrochés, en piles et en rouleaux ; des petits bouts de maquettes ; la moitié d'un oeil robotique qui suit votre progression à travers le capharnaüm. "Oh tiens, quelle main finement ouvragée" s'exclamera un client après s'être extasié devant une jambe. L'atelier de Pino, c'est un musée assurément... Des horreurs pour certain.
Mais Pino s'en fiche pas mal des avis de ses détracteurs, il les adore lui ses petits bouts de métal destinés à être chair. Il les bichonne comme ses propres enfants, les polît et les perfectionne parfois tellement qu'il en oublie ses nuits. Quand ça se fixe, quand ça se plie sans grincer : c'est là que ses yeux brillent le plus. Comme un gamin devant le marchand de glace. Regardez le tout heureux ! Plus épanoui que le boiteux dont il a réparé la jambe ! Il applaudît, sourit de toutes ses dents !
Ne trouvez vous pas son enthousiasme communicatif ? Il faut dire que si Pino est doué pour réparer et démonter, il l'est tout autant pour sourire. La joie ne semble jamais quitter son corps, même lorsqu'il échoue, que le coeur sur lequel il travaille explose : l'italien d'origine restera tout autant optimiste et enjoué, sachant rebondir comme personne. "Pino c'est un rayon de soleil qui traverserait un trou noir" disait maman. Rayon de soleil d'une journée sans nuage. Du genre de ceux qui tapent si fort, qu'il brûlerait la peau.
Et oui... Parfois, il persévère. Encore. Trop, peut-être ? Combien de camarades voulant travailler avec lui a t'il tué à la tâche ? Lorsque que ce n'était pas ses "patients" eux-mêmes qui était las de servir de cobaye à ce savant fou. Eux, notre Pino ne les jamais compris. Il pensait tout bien faire, ne voulait qu'aider - est-ce que l'altruisme pouvait être une mauvaise chose ?
"Est-ce vraiment de l'altruisme ?" demandera le lecteur averti. Vaste question sur notre concepteur. Lui, ne s'est jamais interrogé sur ça : Pino aime aider les gens, autant qu'il aime démonter une grosse machine compliqué pour la comprendre. Pour la connaître.
Mais Pino, Pinocchio.... L'Homme n'est pas le grille-pain de ton enfance.
Particularités
Caractère
Super oeil bionique : C'est discret, ça ne se voit pas mais l'oeil gauche de Pinocchio n'est pas comme le droit. Regardez donc sa pupille qui se dilate alors qu'il travaille sur l'ossature d'une oreille mécanique. Que fait t'il ? Et bien il zoome ! Il méga-zoome. Son oeil en effet fonctionne comme une super caméra et lui permet non seulement, de voir en détails et très précisément des choses extrêmement petites, mais aussi d'étendre sa vision et sa résistance aux lumières et à l'obscurité.
Capacités
Et ta petite histoire plus ou moins longue ici.
Histoire
Truite *hurle de hype* Oulala vous êtes trop beau ! Jpp ! Et tous ses refs/clins d'oeil ! À la base j'étais juste venu stalker mais quand j'ai craqué quand j'ai vu Pinocchio qui est exactement le genre de personnage vers lequel j'ai envie de me tourner ! Ce qui est -entre nous- une grosse erreur, une énorme bêtise : vu que je me suis inscrit sur un autre forum, genre... Avant hier. Et en plus ma vie est super compliquée en ce moment mais bref. Je crois que je vais scarifier quelques nuits de sommeil, hein. Tant pis. À quoi ça sert le sommeil au juste ?
Sinon, c'est la premiére fois de toute ma vie de rôliste que je prend un prédef, j'espère ne pas trop le massacrer et que ça vous conviendra ! N'hésitez pas à me notifier si les quelques libertés que j'ai pris/vais prendre en terminant ma fiche, ne vous conviennent pas. Sinon changez pas, vous êtes beaux les gars, putain, ce que vous êtes beau !